Comme il est de coutume à chaque premier lundi ouvrable du mois, le personnel du Premier ministère a sacrifié au rite républicain de la montée des couleurs nationales, ce 4 novembre 2019.

A l’occasion de cet acte patriotique, le Premier ministre, Christophe Joseph Marie DABIRE, a invité ses collaborateurs à magnifier les valeurs cardinales qui fondent notre patrie, dont l’ardeur au travail.

« Le peuple burkinabè est reconnu comme un peuple travailleur. Rien ne devrait venir démentir cela. Quelque soit l’adversité face à laquelle on se trouve, on devrait continuer à se battre pour la construction de notre patrie. Je vous exhorte à rester toujours debout sur le front du travail », a-t-il conseillé.

Puis, il a indiqué que les agents du Premier ministère doivent consacrer le meilleur de leur temps à construire la patrie et à faire en sorte que la vision du développement économique et social soit partagée par tous.

« Chacun de nous, chaque fois qu’il pose une pierre, doit se dire qu’il contribue à faire le bonheur du peuple burkinabè auquel nous appartenons tous », a affirmé le Premier ministre.

Il a eu pensée pour notre armée nationale qui a célébré son 59eme anniversaire ce 1er novembre sous le thème : « Union sacrée des populations autour des Forces armées nationales dans la lutte contre le terrorisme ».

Et Christophe Joseph Marie DABIRE de déclarer : « Les Forces armées nationales sont sur le front pour l’intégrité de notre territoire. Notre armée n’est pas toujours comprise par le commun des mortels, mais nous qui sommes à la manœuvre nous savons le sacrifice que cette armée consent, quelles sont les difficultés face auxquelles elle se bat et nous notons également la qualité de son engagement pour la patrie. Nous saluons l’ensemble des Forces armées nationales et l’ensemble des fils et des filles de ce pays pour la défense de la démocratie et surtout de la construction d’un état de droit où il fait bon vivre au Burkina Faso ».

Le Chef du Gouvernement a aussi eu une pensée pour les victimes de l’Insurrection populaire des 30 et 31 octobre 2014 et au peuple burkinabè qui s’est battu, notamment la jeunesse, « pour que nous puissions à conserver les valeurs de démocratie et de paix dans notre pays ».

DCI/PM